Coup de pouce : Stoneage Kid

Par­fois, on tombe dans nos mails ou totale­ment par hasard sur un morceau, un artiste ou un clip qui nous colle à notre chaise. Alors on en par­le, tout sim­ple­ment. Ce sont les “coups de pouce” de la rédac’. 

Ce petit texte que nous col­lons en haut de chaque arti­cle “coup de pouce” n’est pas seule­ment un gim­mick : c’est exacte­ment comme ça que ça se passe… Et notam­ment quand on a reçu cet EP de Stoneage Kid. Stoneage qui ? On con­naît bien le label sur lequel est signé le maxi, Smile For A While, écurie house partagée entre Franc­fort et Berlin. Mais c’est tout, le mail de David (co-fondateur du label) s’ar­rête là, et essayez donc de taper “stoneage kid” dans Google sans tomber sur des dizaines de sites de déguise­ments pour enfant (option Pier­rafeu). On a fini par com­pren­dre que der­rière Stoneage Kid se cache en fait Sebas­t­ian Maschat, bat­teur pour le Norvégien Erlend Oye au sein de son groupe plutôt pop The Whitest Boy Alive, et qu’il joue chez Tili­boo Afrobeat (on imag­ine que vous avez dev­iné le style musi­cal de ce groupe-là).

Bon, okay. On n’est finale­ment pas plus avancé. Mais franche­ment, peu importe : tout ce qui compte, c’est ce pre­mier EP solo, trois titres accom­pa­g­nés d’un remix presque Kalk­bren­nien (péri­ode Berlin Call­ing) par Lauer. Trois pépites où la house old-school ren­con­tre une froideur beau­coup plus actuelle, avec vocaux envoû­tants en cadeau. La par­faite osmose, venue de nulle part, qu’on a du coup récupéré en exclu­siv­ité. Ça aurait été trop bête de garder ça pour nous : 

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