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1 septembre 2016

Premiers noms des Trans Musicales 2016 : nos cinq coups de coeur

par rédaction Tsugi

La 38e édition des Rencontres Trans Musicales de Rennes se tiendra du 30 novembre au 4 décembre. Le festival, presque hivernal, a à coeur son rôle de défricheur et sa place en tant que grand festival français avec sa centaine d’artistes, tous dévoilés le 15 septembre prochain, prenez note. Aujourd’hui, on découvre les quinze premiers noms des Trans 2016, loin des têtes d’affiche, qui assureront l’écletisme et la richesse de la programmation. Parmi eux, on en a choisi cinq, coups de coeur ou petits préférés, comme vous voudrez (juste après la pub).  

 

Chouette, quatuor rennais (avec la chanteuse et bassiste de The 1969 Club) qui n’a ni sa guitare ni son rock dans la poche. Le groupe vient de sortir son premier album, You Don’t Know Why You Run, qui dévoile des influences bien présentes (The Cramps, Jon Spencer, Brian Jonestown Massacre) et une production qualitative faussement désabusée. Forcément, c’est très chouette (on était obligé). 

Pyrit et son premier album UFO, inspiré d’un roman de science-fiction. Le jeune artiste suisse-allemand produit des morceaux mélancoliques, électroniques et un peu ovnis. En l’écoutant, on ne sait plus si on est angoissé ou triste mais dans les deux cas, on a compris que la musique de Pyrit ne laisse personne indifférent. 

Tiggs Da Author est un phénomène soul à suivre de près. Depuis trois ans, il sort des tubes à la pelle, entre deux époques et enrichis grâce à l’impressionnante culture musicale de l’artiste. Né en Tanzanie et résidant en Angleterre, Tiggs Da Author et son charisme pourraient être comparés à un Pharell Williams d’un autre temps. 

– Reykjavíkurdætur (comprendre « les filles de Reykjavik ») est un collectif unique. Il regroupe une vingtaine de rappeuses féminines mettant en commun leur passion, qu’elle soit musicale ou pas, dans des titres qui donnent la pêche. Des flows souvent portés sur la condition des femmes et musique électronique clinquante, ça vient du nord et ça ne tourne pas autour du pot. 

Bantu Continua Uhuru Consciousness (ou BCUC) est un collectif venu tout droit de Soweto (Afrique du Sud). Ils sont six musiciens et font de la musique « funky soul indigène » (selon eux) avec des instruments inattendus, comme le sifflet zoulou, des percussions traditionnelles et du rap, des choeurs et surtout de la passion. On est vite conquis avec leur pop moderne et exotique venue d’Afrique. 

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