Skip to main content
5 juillet 2016

5 trucs qu’on a hâte de voir au Pitchfork Festival Chicago

par rédaction Tsugi

Il n’y a pas que le festival Pitchfork parisien, il y a aussi l’édition américaine, lancée à Chicago bien avant que le webzine tout puissant ne se décide à traverser l’Atlantique. Cette année on se rend d’ailleurs à l’édition chiagoanne, qui se déroulera du 15 au 17 juillet. Voilà quelques uns des groupes qu’on a hâte de voir là-bas.

Le régional de l’étape : Sufjan Stevens

Certes, Sufjan Stevens a grandi à Détroit, dans le Michigan. Certes, il est plutôt connu pour habiter à Brooklyn aujourd’hui. Mais les fans se souviennent que le premier grand disque de Sufjan Stevens s’appelait bien Illinoise et que l’une de ses plus grandes chansons se nomme « Chicago ». On espère donc une explosion de confettis ou de ballons sur place, même si son dernier album en date est plutôt du genre tristoune. 

Les vieux qu’on veut bien voir : Super Furry Animals

Si l’on restera à vie très fans du travail solo du Gallois Gruff Rhys, on est curieux de voir ce que son groupe d’origine peut produire sur scène alors qu’il vient de se reformer l’année dernière. Avec un peu de chance on entendra même de nouvelles bombes rock psychés. Pour l’instant on a eu droit à un tout petit single en mai.

L’incendie : Miguel

Alors qu’on attend toujours un signe de vie de Frank Ocean (même s’il se murmure qu’un album sortira en ce mois de juillet), on se rabat sans broncher sur Miguel, peut-être la seule star mainstream du R&B qui a émergé dans les années 10 (sans succomber à l’EDM). Côté show, le bonhomme sait y faire, loin du romantisme intime de Frank Ocean et plutôt dans la démonstration de groove et de séduction massive. Y aura du biscotto.

La jeune pousse : Empress Of

Capable de passer de la danse aux larmes en quelques notes, Empress Of a sorti un premier album impressionnant l’année dernière, collection de minitubes électro-pop produits avec flair (par ses soins). Peut-être nous accordera-t-elle aussi des moments de frisson, seule au piano, quand sa voix douce et pure emporte tout sur son passage ? On prie. 

La curiosité : Carly Rae Jepsen

Carly Rae Jepsen au Pitchfork ? Pas si surprenant : d’abord parce que le festival a toujours trouvé de la place pour quelques invités mainstream, aussi parce que la rigolote tente un virage branché (avec Blood Orange notamment), qui n’a jusqu’ici pas donné que des horreurs. Reste à savoir si le public de Pitchfork saura accueillir la jeune femme et lui donner sa chance.

Visited 2 times, 1 visit(s) today

Leave a Reply