Écoute ça : le nouveau Agoria, en exclu pour Tsugi !
Ce vendredi 19 janvier, Agoria sortira son nouveau single ‘I Love You More Than Myself’ en featuring avec Rome Fortune. Il est déjà dispo dès aujourd’hui, en exclusivité chez Tsugi ! Un track mélodieux tourné vers le club, où le producteur prône le self-love. De quoi nous faire danser en attendant son nouvel album.
Le producteur lyonnais a encore frappé. Après son single « Teardrops« , il continue dans la même lignée avec le bien-nommé « I Love You More Than Myself ». Sur des sonorités mélodiques, et un bpm assez lent tendance house (Agoria en a également fait un remix dub qui accompagnera la sortie, ne vous inquiétez pas). Agoria nous délivre son titre avant les autres, en exclusivité sur Tsugi. Le titre s’accompagne d’un autre remix, par le directeur artistique du club Scorpios de Mykonos, Lannka. On ne peut pas faire plus clair comme message : ce prochain album sera fait pour être joué en boîte, pour danser. Et à être en paix avec soi-même.
Dès les premières secondes du morceau, une voix robotique énonce (en anglais bien sûr) ‘Je t’aime plus que moi-même’. Ce qui semble alors partir comme une chanson triste, ne l’est en fait pas du tout. Agoria vient jouer avec l’opposition de l’homme au cœur brisé, et des sonorités faites pour danser.
Le chanteur Rome Fortune, ne chante d’ailleurs pas vraiment : il se répète d’un air titubant, sa voix est pleine d’échos… Ca sonne comme l’interprétation musicale d’un homme bourré en boîte qui réaliserait, sous l’effet de l’alcool, que sa relation est chaotique. On visualise parfaitement le tableau semi-dramatique où la fête est là pour oublier ses problèmes.
On a demandé à Agoria de décrire son titre, voilà ce qu’il en dit :
« Je suis un fan inconditionnel du flow de Rome Fortune. Je l’avais déjà enregistré sur Echelon – morceau de mon dernier album .dev. Il est totalement habité. Tandis que la ‘fame’ est devenue le point central de tout contenu, j’avoue être assez sensible à sa perspective d’aimer autre chose que soi-même »
Après une introduction de plus de deux minutes où chacun leur tour, les instruments, les sonorités et les voix arrivent sur le track, Agoria libère enfin la mélodie. Mais lorsque tout semble préparer à un beau drop, au final c’est tout léger. La mélodie au clavier nous laisse une impression étrange. Tout se ralentit, on fait une pause et on part dans une dimension imaginaire. Agoria décrit parfaitement le moment où, au beau milieu d’une soirée qui bat son plein, on réalise ce qu’il se passe, mais on préfère ne pas y penser et continuer à danser.
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Le message est clair : aimez vous, vous-même, avant d’aimer les autres ! (Et merci encore pour l’exclu)