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©Romain Guédé
7 décembre 2022

Le Glazart lance son label ‘After O’Clock Records’ et dévoile déjà un premier EP !

par Adèle Chaumette

« After tous les samedi et dimanche de 6h30 à 16h! » Si l’on devait choisir une phrase pour résumer le Glazart, ce serait probablement celle-là. Depuis 2021, la boîte de Porte de la Villette permet aux fêtards les plus déterminés de prolonger la teuf jusqu’au bout de l’après-midi. Afin de faire briller ses afters dignement, le club vient d’annoncer la création de son premier label After O’Clock, sur lequel est déjà paru un premier EP. 

En cette fin d’année 2022, le célèbre Glazart a mis les petits plats dans les grands. Reconnu dans le tout-Paris pour ses afters hors du temps, la boîte techno vient de lancer After O’Clock Records, un label réunissant les artistes résidents, mais également des invités ponctuels et internationaux. Afin de célébrer les dimensions parallèles créées lors de ces after insensés, le label sortira quatre fois par an, à chaque saison, un EP Various de 4 à 5 artistes. Pour cet automne, et à l’occasion de cette grande nouvelle, le label vient de dévoiler le premier EP sur lequel on retrouve des artistes habitués des lieux : Alys, Kuss, Shaney, Ket Robinson et Double Trouble. De quoi retrouver l’énergie unique de ces soirées devenues un haut lieu de retrouvailles des créatures de la nuit…

 

 

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Pour ceux qui n’auraient pas encore goûté à ces after-parties, voilà en quelques mots à quoi ça ressemble. La soirée initiale se termine sur les coups de 6h, et pour les plus vaillants, l’humeur est plus que jamais à la fête. Tout le monde se pose dans le fumoir extérieur, le jour se lève, ça fume une clope en débriefant et surtout, ça attend l’after de pied ferme. Sur le sable de la Plage en été, ou dans le froid en débardeur l’hiver, l’état général balance entre la fatigue d’une soirée déjà passée, et l’excitation de ce qui est sur le point d’arriver. Et le videur lance le feu vert. Ceux qui sont restés, se ré-engouffrent dans la pénombre du club du 19ème, comme si il n’y avait rien de plus naturel. Les enceintes se rallument, les basses reprennent de leur superbe et le dancefloor est de nouveau envahi… Le reste de la soirée appartient à l’Histoire.

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