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© Parlophone/Warner
20 août 2019

Clap de fin pour The Good, The Bad and The Queen

par Elie Chanteclair

Adieu ou au revoir, le terme est incertain. The Good, The Bad and The Queen a d’abord annoncé sa scission sur Twitter, avant que Damon Albarn le confirme au début de leur passage au festival néerlandais Lowlands : « C’est notre dernier concert. Après ça, poof. Fini. » Difficile de savoir toutefois s’il fait référence à la tournée ou au projet lui-même. Ce qui est toutefois probable, c’est le risque de ne pas les retrouver avant un bon moment.

Le supergroupe, certes formé autour du chanteur de Blur et Gorillaz, mais également du bassiste de The Clash Paul Simonon, du batteur nigérian et figure de l’afrobeat Tony Allen et du guitariste Simon Tong (The Verve), a toujours cultivé l’art de l’absence. Formé en 2005 et accouchant d’un album éponyme en 2007 – mélangeant les influences de ses membres au sein d’un rock délicat -, cette inédite formation avait attendu 2011 avant de redonner un unique concert à Londres. Ils sont ensuite revenus en grande pompe l’année dernière pour un second (et très bon) disque, Merrie Land, qui s’est accompagné d’une tournée désormais révolue. Les chanceux qui les ont vus au Bataclan en mai dernier peuvent donc s’estimer très heureux… Rendez-vous en 2030 ?

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