đ Park Hye Jin confirme avec ce premier album excitant de house corĂ©enne
Before I Die, le preÂmier album rafraĂźchissant de la CorĂ©enne Park Hye Jin sort aujourÂdâhui sur NinÂja Tune.
Chronique issue du TsuÂgi 143 : GarÂnier / LimÂiñanas, disponible le 8 sepÂtemÂbre en kiosque et en ligne.

ArtÂwork
ApreÌs des mois dâalternance entre conÂfineÂment et couvre-feu, tout le monde nâa quâune envie : chanter et danser en chĆur, nâest-ce pas ? Ni une, ni deux, « Letâs Sing Letâs Dance » eÌtait donc le titre du sinÂgle lançant le preÂmier album de Park Hye Jin. Avec ses accords de piano rebondisÂsants et son drum patÂtern eÌtouffeÌ, le sinÂgle avait tout pour devenir lâhymne de lâeÌteÌ. ProbleÌmes de marÂketÂing peutâeÌtre⊠Pas de panique, elle en a plein en reÌserve : cette forÂmule dâune « catch phrase » en anglais reÌpeÌteÌe tout au long du morceau et agreÌmenteÌe de couÂplets en coreÌen, la chanteuse-productrice lâutilise aÌ foiÂson tout au long de Before I Die (« I believe in myself », « Can I get your numÂber ? I wanÂna fuck »). Elle aurait pu eÌtre un poil plus subÂtile, mais cette recette se reÌveÌle effiÂcace, ausÂsi enteÌtante sur les refrains quâhypnotisante sur les couÂplets. Et câest pareil du coÌteÌ des proÂducÂtions rafraiÌchissantes et origÂiÂnales, oscilÂlant entre kicks satureÌs, claviers house et trap. SpontaneÌe, la Sud-CoreÌenne va droit au but : elle a une ideÌe en teÌte, elle la suit et ne perd pas le temps de la deÌvelopper. Cela donne des morceaux geÌneÌralement treÌs courts, entre deux et trois minÂutes. VoilaÌ pourquoi il y en a autant ! Et vous nâavez quâaÌ appuyÂer sur « repeat »âŠ
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