Dream Nation : les premiers noms du festival qu’on vit comme un rêve éveillé
Dix ans que Dream Nation célèbre les cultures électroniques underground. Cette année, le festival revient investir le Parc des Expositions Paris Nord du 15 au 16 septembre 2023 entre techno, drum & bass, hard music, dubstep et trance. Les premiers noms du line-up sont là, et on peut déjà vous dire qu’il y a de quoi satisfaire amplement vos envies de dancefloor.
Tous les ans, le festival Dream Nation se présente comme un écrin de rave à quelques kilomètres de Paris. Pendant deux jours, les figures de proue internationales des styles les plus underground électroniques défileront sur des scènes psychédéliques, parées de lasers en tout genre, puis baignées de lumières stroboscopiques. Cette année, cela va monter crescendo.
Techno to hard music
Le vendredi 15 septembre, Dream Nation s’ouvre ‑en douceur- sur une session techno. Et qui d’autre que l’emblématique Nina Kraviz, papesse de la scène techno internationale, pour vous faire danser sur des rythmes endiablés dont la puissance, teintée d’acid et de groove, possède un ‘on-ne-sait-quoi’ de singulier. Tout comme pour Héctor Oaks et son style bien a lui : armé de vinyles triés sur le volet, il saura régaler les puristes des années 1990. Sans compromis, le DJ madrilène vogue entre tous les styles de techno, acid et rave compris. Et la techno industrielle dans tout ça ? Rassurez-vous : si vous en êtes mordus, Hadone, co-fondateur du label Taapion Records, vous délivrera un set indus’ dont il a le secret.
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On monte encore d’un cran avec la “Hybrid Stage”, scène qui accueillera tous les artistes extraterrestres des musiques électroniques, ceux qui osent mélanger les styles avec exubérance. Ainsi, vous retrouverez le quintet électro-punk Bagarre : au programme, paroles engagées et énergie cathartique entre sonorités pop, punk, musiques électroniques et hip-hop. Dans la même veine ‑un brin plus loufoque‑, les trois gars de Salut C’est Cool changent de disque. Ils présenteront leur nouvel univers sous le nom de Dimension Bonus. Mais pas de panique, c’est toujours la même recette : une rave party euphorique aux influences multiples. Enfin, la tekno et l’acidcore auront également une place de choix avec les deux acolytes Sköne et El Desperado.
Une fois la soirée à son apogée, place à la hard music. Côté hardcore, vous pouvez compter sur le set ravageur de Miss K8 entre kicks brutaux et mélodies mélancoliques. Mais aussi sur le jeune producteur néerlandais SEFA, qui sait mélanger les styles de hardcore mieux que personne. Enfin, pour terminer cette première soirée en beauté, Rooler, Vertile et Empira assureront trois sets aux couleurs de la scène hardstyle.
Bass music to trance
Pour le samedi 16 septembre, Dream Nation troque ses scènes techno, hybrides et hard music contre des scènes bass music et trance. Retrouvez donc des professionnels du dubstep comme le duo Zeds Dead, une référence depuis plus de dix ans, ainsi que le producteur Virtual Riot et ses basses massives. Une chose est sûre, vous n’en sortirez pas indemnes. Mais que serait une scène bass music sans sa petit touche UK ? Dream Nation a pensé à tout en invitant des pointures de la drum & bass. Alors, tenez-vous prêtes et prêts à vibrer devant le duo britannique Koven et le producteur spécialiste en la matière SPOR.
Enfin, laissez-vous envahir par l’énergie débordante de la Trance Stage. Les maîtres de Hilight Tribe vous offriront un concert entre musique acoustique chamane et sonorités électroniques. Pour les accompagner dans cette aventure psychédélique, vous pourrez compter sur BliSS et sa psytrance percussive, Freedom Fighter, producteur d’une trance aux inspirations tribales, ainsi que le phénomène Sajanka.
Le line-up n’est pas encore complet, mais si on a déjà réussi à vous convaincre, la billetterie c’est par ici !
