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Dream Nation retrouve, du 26 au 27 septembre, le Parc des Expositions Paris Nord. L’occasion de surprendre avec un show inédit et une belle programmation. Pour fêter la sortie de la deuxième vague de leur line-up, on ausculte les b2b exclusifs de ces deux soirées fiévreuses.
Dream Nation, c’est deux jours de fête pour en prendre plein les yeux et faire vibrer nos petits cœurs sous les basses. Rendez-vous des amoureux, des curieux et des explorateurs des cultures électroniques, vous êtes sans aucun doute tombé·es sur l’événement à ne pas rater pour cette rentrée. Dream Nation fait déjà rêver : installations monumentales, visuels futuristes et jeux de lumières. Mais ce festival, c’est avant tout du bon son, de la techno à la trance, avec des détours par la bass et la hard music.
Un rêve, avant tout, ça se partage dans la foule et derrière les platines. Les équipes du festival ont pris cette idée au pied du line-up. Pour cette 12ᵉ édition, le festival bat au rythme de b2b endiablés. Des performances inédites en duo, portées par des figures majeures de la musique électronique. Tsugi, féru d’exclusivités, détaille ces couples explosifs de Dream Nation.
Le vendredi, la scène Pulsar aura la chance d’accueillir deux titans de la techno et du hardstyle : Reinier Zonneveld et Angerfist. Et ce, pour une première en France. Dans la même veine, l’incontournable de la neorave Dyen viendra se frotter aux rythmes soutenus du Néerlandais Stan Christ.
Du côté de la Warzone, pas de bagarre, mais une avalanche de sons résolument féroces. Dans un premier temps, le Français Billx, condensé de hardtech et de psytrance, s’associera au Britannique Vandal, pionnier de la tech-funk — techno inspirée de la jungle et du reggae. Un combo aussi intrigant que prometteur. Ils seront suivis par un set galopant de l’ukrainienne Miss K8 et l’italienne AniMe. Pour clore la salve de back-to-back de ce premier jour, difficile de ne pas mentionner l’union mordante de Partyraiser, vétéran de l’uptempo, et de Major Conspiracy.
Le samedi, Dream Nation connaîtra un torrent de b2b exclusifs. Sur la scène Bassquake, Kayzo et Must Die! accorderont leurs violons pour un mix explosif insufflant au dubstep un air punk et un son metal. Le dubstep semble à l’honneur, puisqu’on retrouve en duo la musique ravageuse d’Infekt et de Samplifire. Kanine, encensé par UKF, s’assurera de maintenir ce tempo tendu aux côtés de Sota et sa drum and bass.
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Les programmateurs ont un secret. Regardez bien le line-up : Mischluft jouera sa techno-trance non pas seul, mais avec un·e artiste mystérieux·se.
De quoi éveiller vos rêves les plus fous !
Dream Nation promet encore cette année des rencontres exclusives sur ses scènes. Une excellente raison de célébrer, le rêve à deux… et de prendre ses billets au passage.
