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© Jack Parker
31 juillet 2024

Left of the Dial 2024, Rotterdam au rythme du rock

par Marie Courtès

Pour sa septième édition, Left of the Dial a encore vu les choses en grand. Trois jours de festival, du 17 au 19 octobre, avec une programmation riche de près de 130 artistes et groupes rocks. On y a jeté un coup d’oeil, suivez la guide.

 

Du 17 au 19 octobre, Rotterdam est en alerte. D’importantes secousses sont à prévoir. La raison ? L’édition 2024 de Left of the Dial ! Durant trois jours, le showcase festival (destiné à faire découvrir des artistes à des professionnels du secteur), imaginé par la mythique salle Rotown, accueille le meilleur de la scène émergente rock… Mais pas que, puisque tous ses spectres seront représentés grâce à un line-up éclectique.

En plus d’offrir une vitrine à ces artistes, Left of the Dial se donne pour mission de devenir un tremplin pour leurs carrières. L’après-midi du 18 octobre, des rencontres et conférences aux côtés de professionnels de l’industrie musicale sont attendues -les producteurs Dan Carey et Trevor Dietz ont répondu présents- au sein de la salle de concert Annabel. Le festival n’investit pas uniquement les salles et bars de Rotterdam, mais aussi des bateaux (ville portuaire oblige) et même des églises !

 

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Tramhaus © Guus van der Aa

Une programmation léchée

 

Dans la famille art-punk -genre musical de punk rock et de postpunk tirant vers l’expérimental-, on demande Moleskine. En février dernier, le groupe français avait sorti son dernier EP intitulé Comfort, aux six titres à l’ambiance groove et sombre. C’est déconcertant, mais terriblement plaisant. Mention spéciale pour le titre ‘Inconvenient Place‘. On poursuit avec le crew indie-rock, En Attendant Ana, et le duo Albert Jupiter et ses phases psychédéliques addictives.

 

On retrouve également Tanz Akademie, jeune groupe d’amis qui a publié son premier album Hullabaloo en avril. Le succès n’a pas tardé à venir puisque les Italiens en tournée en Europe. On poursuit avec le duo japonais électrisant HYPER GAL. Difficile de mettre des mots sur leur univers, tant il est singulier : un cabinet de curiosité jonché par la noise, la pop avec supplément notes expérimentales. On pourra également se délecter de la dreampop de Better Joy et apprécier son nouveau titre, Situations.

Pour une bonne dose de garage, nous demandons CRACKUPS et Saloon Dion. Côté grunge, on se tourne vers le quatuor britannique Keo et ses accents rock alternatif.

Vous n’êtes toujours pas rassasié ? Left of the Dial propose le ‘Extra Extras‘, un panel d’activité pour les hyperactifs. Vous pourrez arpenter Rotterdam au cours d’une chasse aux trésors, ou même prendre des cours de mosh pit (si si).

Et si vous ne pouvez pas assister à l’entièreté du festival, Left of the Dial a conçu le « sharing is caring« . Un système où au moment de votre départ, vous pourrez remettre votre bracelet à la billetterie, pour que quelqu’un d’autre puisse le récupérer et profiter gratuitement des dernières festivités ! (Malin ainsi que mignon)

La programmation du Left of the Dial est encore longue : le lien pour la consulter est ici et celui de la billetterie, juste !

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