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17 août 2022

Paloma, gagnante de Drag Race, fait chavirer nos coeurs avec « Love, l’artère »

par Bérénice Hourçourigaray

Paloma, Paloma. On la connaissait première gagnante de Drag Race France, comédien, réalisateur, scénariste en tant qu’Hugo Bardin, on la découvre en étincelante chanteuse dans son premier single « Love, l’artère ». 

Vous déjà avez forcément vu sa tignasse rousse ces derniers jours. Paloma est l’heureuse gagnante de Drag Race France, la première édition du concours de drag-queens de France Télévisions. Son trait d’esprit, sa sensibilité artistique et son humour la faisaient clairement sortir du lot. Dès le premier épisode, Paloma s’est imposée avec son one woman show en incarnant son personnage Lola Shiva, qui nous invitait dans un vrai voyage intérieur où l’on pouvait explorer notre féminin sauvage.

 

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Une pochette lé-gen-daire

On la découvre chanteuse avec la sortie de son premier titre « Love, l’artère ». Tout d’abord, il faut s’arrêter sur cette pochette. Paloma a le sens du détail, ça on le savait déjà. Mais là on lui tire notre chapeau. Sa perruque rousse, marqueur ultime de son identité, s’est transformée en un carré rouge carmin parsemé de paillettes – évidemment. Sa raie est disposée de façon à ce que ces cheveux forment un cœur sur son front. Un drapé rouge s’étale jusqu’au sol. Une longue jambe dans un collant rose pétant sort de la robe, et contraste à merveille avec le reste du tableau. En haut à droite un logo du même rose, dessiné en lettres romantiques, forme un mot ou plutôt un nom, celui d’une queen : « Paloma ». Lé-gen-daire, pour reprendre l’expression de Nicky Doll.

Une musique 80’s à la sauce Paloma

Vous l’aurez compris : le thème du morceau, c’est l’amour, enfin le cœur. Et Paloma n’y va pas à moitié. On ne peut pas s’empêcher de penser à Mylène Farmer lorsqu’on écoute le morceau. Paloma avait d’ailleurs déjà rendu hommage à la star dans l’émission, en reproduisant un de ses looks et en réalisant un playback d’un de ses sons. Du kitsch, du vocoder, des synthés très 80’s, on entend même des palpitations d’un vrai cœur : tout est réuni pour ravir les nostalgiques. En bonus, les paroles sont truffées de délicieux jeux de mots « ça m’écoeure », « occis, j’aime »… Vous êtes fan de l’instru ? Paloma a pensé à tout, puisqu’elle a sorti une version instrumentale. Notre cœur est clairement à 120 BPM quand on l’écoute.

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