Les 4, 5 et 6 juillet, le festival de musique et de gastronomie nous donne rendez-vous dans les douves du château d’Égreville. Le programme de ces belles journées estivales : « la fête folle, la fête gourmande, la fête inclusive, la fête joyeuse et la fête bienveillante ». Rien que ça.
On ne se lasse pas de parler du festival La Douve Blanche. Pour cause, le festival fait battre nos cœurs, remplit nos panses et charme nos esgourdes. Carton plein, donc ! Pour cette 11ᵉ édition, le château d’Égreville accueille à nouveau cette parenthèse de bons sons et de bonnes bouffes, du 4 au 6 juillet.
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En avril dernier, on épluchait une première vague des noms qui feront vibrer le festival. À quelques jours du coup d’envoi de La Douve Blanche, on creuse la suite de cette programmation terriblement prometteuse.
Place au reste des line-ups ! La house aura la part belle dans les douves du château d’Égreville. Alexandir, tout droit venue d’Istanbul, en est un exemple. Son titre « Yamaha » avait fait parler d’elle en 2018, hâte de succomber à sa house décontractée et son electronica sincère. Komu proposera derrière les platines, un versant plus progressive house alors que Nizar s’enfoncera dans les tréfonds du genre, côté électro-pop.
Tales & Ahlam, signé chez Nowadays, ouvrira la house à la global groove avec des titres très efficaces comme « Dakhilo » et « Tabiaa ». Jean Touss poussera ces sonorités avec une belle palette de sonorités lusophones, des beats afro et des rythmes caribéens. Naomi, journaliste, DJ et résidente sur Rinse, apportera une touche r&b, des couplets de rap et les subs de la bass music à cette pointilleuse programmation.
La Douve Blanche, ce ne sont pas seulement des DJ sets, mais aussi des concerts (on enfonce des portes ouvertes ?) Préparez-vous à frémir sous la voix feutrée de Frieda ou la délicatesse du jazz-blues d’Alma Rechtman. Le duo marseillais King Krab mélangera des notes soul, funk et pop phocéenne dans un sublime live. Et les fans de rock et de garage auront le plaisir de se languir ou se déchaîner — au choix — sur les riffs brûlants de Johnnie Carwash !
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Ces allures de rockeurs s’invitent aussi au festival sous le nom RAUMM, associant de manière insoupçonnée techno, pop et envolées lyriques : la tension risque de monter. Un lancement parfait pour présenter Elise Massoni qui a su séduire plus d’un sur les ondes de Rinse avec une techno sans concession.
Entre deux bouchées, vous aurez de quoi vous régaler les oreilles et pour ça, il faut d’abord vite prendre ses places ! On laisse, ici, un lien vers la billetterie pour les retardataires.
